
L’intéressé, âgé de 21 ans, affirme avoir agi pour alerter la filiale du groupe KLM, Transavia, sur ses failles de sécurité. Le pirate a pourtant largement franchi les limites posées par le législateur…
Comme le révèle le site TF1, « le hacker a dérobé les données personnelles de 500 employés de la compagnie aérienne low cost, Transavia (cartes d’identité, passeports, CV, certificats médicaux, etc…) (Ce dernier) a réussi en quelques clics à s’introduire dans un serveur interne de l’entreprise. Et a ensuite mis en ligne (ces documents), sur un site hébergé en Nouvelle-Zélande ».
Mais ce n’est pas tout, le média précise que le suspect a également « tenté d’extorquer certains employés, en leur réclamant des versements de bitcoins ».
Sans surprise, le jeune homme a fait l’objet d’une interpellation par la la Brigade de lutte contre la cybercriminalité (BL2C) sur son lieu de villégiature, dans l’Allier. Avant d’être mis en examen et incarcéré, mi-mai.
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