Washington et Ottawa ont annoncé qu’une nouvelle réunion de crise concernant le dossier Pyongyang aura lieu le 16 janvier prochain à Vancouver. Ce sommet réunira les ministres des Affaires étrangères des pays membres du Commandement des Nations unies en Corée.
Cette information a été officialisée il y a peu par le secrétaire d’Etat américain, Rex Tillerson, et la cheffe de la diplomatie canadienne, Chrystia Freeland.
Cette dernière n’a d’ailleurs pas manqué de surligner « qu’une solution diplomatique est à la fois essentielle et possible » sur cette épineuse problématique nord-coréenne.
Avant d’indiquer qu’il était fondamental « de déployer les efforts diplomatiques vers un avenir plus pacifique, prospère et dénucléarisé dans la péninsule, tout en condamnant (d’une seule et même voix) les actions de (Pyongyang). »
« Nous ne ferons qu’intensifier la pression avec le temps »
Du côté US, la communication s’est également attachée à mettre en garde Kim Jong-un contre sa contraignante politique guerrière :
« La communauté internationale ne l’acceptera pas. Nous attendons une dénucléarisation complète et vérifiée », a insisté R. Tillerson.
Il est important de noter que de nouvelles sanctions envers le régime nord-coréen pourraient découler de cette réunion.
Source : Le Point