Les dessous politiques du meurtre effroyable de la jeune Lola, le 14 octobre dernier, à Paris, posent clairement question. C’est ainsi le cas du déni et du mutisme étatiques dans cette affaire.
Concrètement, les faillites judiciaires et administratives hexagonales interpellent en effet avec la très faible exécution des obligations de quitter le territoire français (OQTF); Une obligation dont fait pourtant l’objet depuis le 21 août dernier, la meurtrière, Dahbia B., une marginale de nationalité algérienne en situation irrégulière en France depuis août 2019.
Florian Philippot, président des Patriotes, revient sur les tenants et aboutissants de ce fait divers sordide. Et cela, en soulignant les disfonctionnements hexagonaux dans ce dossier au traitement médiatique très clivant :
De son côté, le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, préfère botter en touche et s’attarder sur la récupération politique dont souffre l’affaire Lola. Ce dernier évoque ainsi un « tract électoral » :
