
La Cour pénale internationale (CPI) enquêtera sur de possibles crimes contre l’humanité perpétrés au Venezuela depuis 2017 par des responsables du gouvernement Maduro.
Selon Challenges, « des enquêteurs des Nations unies ont déclaré que le système judiciaire vénézuélien avait perpétué des violations des droits de l’homme dans le cadre d’une politique instaurée par l’Etat visant à étouffer l’opposition ».
Curieusement, le président du géant pétrolier, Nicolás Maduro, ne s’est pas opposé à ce que la CPI ouvre un bureau à Caracas, considérant que ce dernier « appuiera des pratiques positives et aura sûrement un impact très favorable ».
De son côté, l’organisation – dont le siège est aux Pays Bas, à La Haye – « espère que cet accord lui permettra de travailler plus étroitement avec le Venezuela et aidera à mettre en place des réformes du système judiciaire qui garantiront plus de justice ».
A suivre…