Les autorités françaises et monégasques ont conclu au mois d’août un accord permettant un échange d’informations beaucoup plus pointilleux concernant les chauffards de la Principauté sévissant dans l’Hexagone.
Le délégué interministériel à la Sécurité routière française, Emmanuel Barbe, a en effet confirmé que les auteurs des délits les plus graves ne s’en sortiront plus aussi facilement que par le passé :
« Comme nous n’avons pas de directive européenne, nous passons par un échange entre autorités judiciaires qui nous induit à faire un tri. Nous avons (donc) retenu à ce stade des gens qui ont un comportement particulièrement choquant », a ainsi précisé l’intéressé sur les ondes de France Info.
A contrario, il est important de rappeler que la réciproque n’est pas vraie puisque les routes de Monaco n’affichent… qu’un seul radar « au compteur ».