Cette opération se déroulera au mois de juin 2019 et sera pilotée par la Banque de France.
Selon le site ADN, qui relaie l’information, « les États du G7, qui produisent 2/3 des richesses mondiales, vont tester (à très court terme) la fiabilité des systèmes de sécurité de la finance mondiale ». Et cela, à l’image du gouvernement japonais en janvier 2019, qui a mis à l’épreuve la « résistance » des infrastructures nippones.
Concrètement, « le principe de l’opération sera d’injecter un logiciel malveillant dans un objet technique largement répandu dans le secteur financier. La simulation durera ainsi trois jours et 24 autorités financières au total seront visées par la cyber-attaque ».
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