Tunis annonce avoir intercepté récemment 19 lettres empoisonnées destinées à des personnalités publiques locales telles que des politiciens, des journalistes, ou encore des syndicalistes.
Le ministère de l’Intérieur tunisien a évoqué dans la foulée « un mélange toxique, inhalable, pouvant tuer par contact direct ». Mais également une probable menace terroriste, qui expérimente désormais « de nouvelles stratégies (…) face aux mesures de sécurité mises en place dans le pays ».
De son côté, RFI confirme que les fameux courriers « ont rapidement été interceptés après leur envoi par les services de la sécurité nationale. Et précise que c’est l’unité d’investigation des crimes terroristes et des crimes organisés portant atteinte à la sécurité du territoire qui sera chargée de l’enquête.
A suivre donc…